23.11.2021

Fondation

L’ouverture de la Fondation

Créée par la société GGL et sa filiale HELENIS, la Fondation d’entreprise GGL HELENIS a pour objet d’encourager la création contemporaine et de valoriser le dialogue entre art et patrimoine en investissant l’hôtel particulier Richer de Belleval par des interventions artistiques monumentales et pérennes, et en proposant régulièrement des expositions temporaires et des rendez-vous […]

L’ouverture de la Fondation
L’ouverture de la Fondation

L’ouverture de la Fondation

Créée par la société GGL et sa filiale HELENIS, la Fondation d’entreprise GGL HELENIS a pour objet d’encourager la création contemporaine et de valoriser le dialogue entre art et patrimoine en investissant l’hôtel particulier Richer de Belleval par des interventions artistiques monumentales et pérennes, et en proposant régulièrement des expositions temporaires et des rendez-vous culturels, au cœur du centre historique montpelliérain.

Le projet artistique de la Fondation GGL HELENIS est dirigé par Numa Hambursin, ancien directeur artistique du Carré Sainte-Anne de Montpellier, ancien directeur du Pôle Art Moderne et Contemporain de la Ville de Cannes (PAMoCC), Prix AICA France de la critique d’art 2018 et futur directeur du MOCO Montpellier.

Les artistes choisis par Numa Hambursin se sont inspirés de ce qui a fait l’âme du bâtiment au fil des siècles, ses fonctions symboliques, ses décors historiques, pour y puiser la matière d’œuvres magistrales, qui feront corps avec l’architecture de l’édifice.

Dans le hall d’entrée aux colonnes néo-classiques, l’artiste américain Jim Dine a fait appel au savoir-faire ancestral de la Manufacture de Sèvres pour accueillir les visiteurs par une fresque-mosaïque éclatante de couleurs, véritable manifeste qui vient résumer l’ensemble de son parcours d’artiste (Faire danser le plafond).

Sous la voûte de l’escalier majestueux, c’est l’univers de la plasticienne française Marlène Mocquet qui se déploie en un jardin d’Eden doré peuplé de créatures joyeuses en céramique (Longue-vue).

Au plafond de l’ancienne salle des mariages, l’histoire du bâtiment prend forme à travers une série de blasons en bas-relief, réalisés en élytres de scarabées par l’artiste flamand Jan Fabre (Hommage à un esprit libre).

Sur les quatre pans de voûte d’une pièce du XVIIe siècle, Abdelkader Benchamma a réalisé un décor à l’encre de chine évoquant l’Alchimie (Prima Materia).

Dans le boudoir du premier étage, la jeune artiste Olympe Racana-Weiler a créé Le chant de la Sybille. Son travail audacieux permet de lire en creux les traces des histoires qui se sont déroulées entre les murs de l’hôtel particulier au fil du temps.

Un espace d’exposition, installé dans la partie médiévale du bâtiment, accueillera pour l’ouverture une exposition consacrée au travail de Jim Dine, composée d’œuvres originales, peintures, sculptures, mais aussi de dessins, estampes et gravures. Cette exposition inaugurera la programmation du lieu où seront proposées chaque années deux à trois expositions temporaires

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